mardi 7 juillet 2015

LE PARC OIHANA : 3 PARCS EN 1...

Le nouveau rendez-vous des familles et des sensations.
Le parc Oihana renouvelle ses ateliers et propose des activités à faire en famille à partir de 3 ans.




  • Le Ttiki-parc : le parc des tout petits

Pour divertir et occuper les enfants à partir de 3 ans. 


Cet espace dédié aux enfants est LA nouveauté 2015 du parc Oihana et répond aux besoins de faire des activités en famille : les enfants avec les parents. 

Le concept est que maintenant les parents ne sont plus spectateurs à attendre les enfants le temps de leur activité mais maintenant ils y prennent part et participent aux activités avec leurs enfants. 

Toute la famille peut suivre un parcours composé de plusieurs ateliers entre 50 cm et 1 m de hauteur en toute sécurité : grand filet de 85 m de long, filet népalais, voies d’escalade dans les arbres, parcours d’équilibre dans les arbres… 

Pas de parcours obligatoire non plus : il est possible de faire et refaire tous les ateliers.

Le tarif est spécialement adapté à cette activité et aux familles avec un prix unique à 15 € par enfant avec un accompagnant offert soit 7,50 € par personne.
  • Le Parcours Famille avec ados
Les plus grands ne seront pas en reste puisque le parc Oihana propose aussi un parc plus adapté aux 6 – 12 ans. Même principe que pour le Ttiki-Parc, les adultes peuvent participer à l’activité avec leurs enfants… 2 à 3 heures d’activités d’accrobranche pure dans les arbres avec une hauteur entre 1 m et 6 m

Le parc Oihana a rajouté et modifié l’habituel parcours et propose des nouveaux ateliers et obstacles.
  • Le Parcours adultes : sensations au plus haut niveau
Le traditionnel parc qui a fait la réputation du parc Oihana est toujours d’actualité et
renouvelle ses ateliers pour 2015. Accessible à partir de 12 ans ou 1 m 75 les bras levés, il est le lieu idéal pour passer un moment entre amis…

Sensations garanties avec des passages dans les arbres jusqu’à 22 m de hauteur, des tyroliennes de 150 m et un saut dans le vide vertigineux à la tarzan… 

4 niveaux d’intensité et de difficulté (bleu, rouge, noir et super noir) avec des hauteurs et des difficultés croissantes qui permettent à chacun de trouver son équilibre et d’aller au bout de ses limites.

Ici aussi nouveaux ateliers et obstacles avec un élargissement de la gamme.

Pour toujours plus de sécurité, le parc Oihana propose une nouveauté : le mousqueton 100% sécurisé. Avec ces mousquetons nouvelle génération, il est impossible de se décrocher puisque vous ne pouvez décrocher votre mousqueton qu’à la seule condition que l’autre soit fixé à la ligne de vie. 

Et toujours : 

- les nocturnes où comment voir l’accrobranche d’une manière différente : fini l’appréhension par rapport au vertige puisque dans la nuit, vous ne voyez pas le sol… 
En juillet et août à 20h30 les mardis et jeudis…

- Le paintball avec un parcours pour les « jeunes » de 7 à 12 ans qui utilisent du matériel à ressort alors que les plus grands pourront « se faire la guerre » avec des pistolets à air comprimé.

La dernière nouveauté est qu’à partir de cette année votre parc Oihana sera ouvert à l’année !!! De Pâques à Toussaint avec des jours et des horaires d’ouverture fixes et le reste de l’année sur réservation.






EN MODE TEST DU PARAMOTEUR ELECTRIQUE

Mardi 16 juin, les hauteurs de la Corniche Basque à Urrugne, 16h, rendez-vous avec Olivier Béristain de Paramoteur 64 pour essayer un vol unique au monde avec un paramoteur électrique.


Je m’étais déjà envolé avec un paramoteur « normal » à essence mais cette fois c’est bien différent. Oublié le chariot et tout l’attirail qui va avec, cette fois on va voler « léger ». Enfin pas si léger que ça quand même car Olivier m’indique que la machine électrique pèse tout de même 45 kg supportés uniquement par ses épaules.

Pendant le temps de montage de l’hélice, je profite du paysage : situé sur les hauteurs de la Corniche le panorama s’étale à l’infini : d’un côté l’océan à perte de vue et de l’autre les montagnes et la Rhune. Magnifique ! Le temps est clair, aucun nuage à l’horizon. Les conditions me semblent parfaites !

Olivier annonce que tout est prêt et qu’il est temps que j’enfile ma tenue de vol. Une fois équipé, il me prévient que ce sera plus « sportif » car avec un vol électrique il faut courir pour pouvoir décoller. A peine le temps de m’expliquer la procédure qu’il donne déjà un coup dans la voile qui se gonfle et c’est parti. Je fais à peine 5 ou 6 enjambées et déjà je ne touche plus le sol. C’est absolument irréel, comme s’il suffisait de courir et de décoller. Cela en est presque trop facile !

L’envol est un peu mouvementé, on part un peu à droite, un peu à gauche mais franchement rien d’inquiétant. On grimpe jusqu’à 350 mètres d’altitude et le paysage sous mes pieds est absolument splendide. On suit les falaises de la Corniche en direction de Saint-Jean-de-Luz. L’océan a différentes couleurs de bleu et de vert et les vagues donnent du relief au paysage. Devant moi rien ne bouche ma vue, je suis réellement en train de voler et comme tout le matériel est dans mon dos cela donne l’impression que je vole par mes propres moyens.
On survole ensuite le Fort de Socoa et la baie de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure avant de revenir par Urrugne par la campagne avec la Rhune et les montagnes basques en fond.

A un moment, il coupe le moteur électrique. Il n’y a plus un bruit excepté le vent dans mes oreilles. La sensation ressentie à cet instant est inexplicable : c’est à la fois impressionnant et magique !

Le temps passe très vite et il faut déjà retourner sur la base de décollage. J’appréhende un peu l’atterrissage. Olivier me dit qu’il ne faut pas avoir d’appréhension à poser les pieds et courir dès que l’on touche le sol… Ça me paraît pas compliqué et au final ça ne l’est absolument pas et l’atterrissage se passe tout en douceur.

Je lui demande s’il n’est pas lassé de voir toujours ces mêmes paysages. Il m’assure que non, c’est impossible et j’avoue que je n’ai pas de mal à le croire !